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Pour les non-initiés, l’appel du marathon tient d’une force mystérieuse, mais pour d’autres le désir de se lancer un défi sur une course de plus de 42 kilomètres semble la chose la plus naturelle du monde. C’est l’envie de partager ensemble l’effort, de se dépasser pour soi et pour son équipe qui a animé les six coureurs de SDTech.

Le Marathon, une épreuve mythique !

Si le Marathon de Montpellier n’en est qu’à sa cinquième édition, le premier ayant été couru en 2010, la discipline est bien plus ancienne. Cette épreuve de course à pied, d’une distance de 42,195 kilomètres, trouve son origine (et son nom) dans la légende selon laquelle le messager grec Philippidès aurait parcouru la distance de Marathon à Athènes pour annoncer la victoire contre les Perses en 490 av. J.-C. La même légende rapporte qu’à l’arrivée, épuisé par son effort, Philippidès aurait succombé.

Si en ceci son cas est fort heureusement isolé, courir un marathon reste une épreuve difficile ! A Montpellier, chez les hommes le record est de 2’23 (record 2014), quand chez les femmes il est de 2’48 (record 2014). Au niveau mondial, les spécialistes de l’épreuve frôlent le seuil des deux heures, sans pour l’instant parvenir à passer en-dessous, ce qui interroge les commentateurs sur le caractère plausible d’une telle performance.

SDTech, une équipe engagée

Chez SDTech, l’effort et la victoire sont des valeurs qui se partagent. C’est donc tout naturellement que nous avons choisi de courir le Marathon de Montpellier. Cet évènement est par ailleurs réputé pour être le premier relais de France avec 750 équipes pour l’édition 2014. Nos coureurs avaient fait le choix d’un relai à 6 étapes variant entre 4 et 11 km environ. Ils devaient donc se transmettre une puce afin de contrôler le passage de relais et le temps mis pour effectuer le parcours. Celui-ci étant en trèfle, il était très facile de revenir sur la ligne d’arrivée pour accueillir son dernier relayeur ou finir ensemble les derniers 500 mètres.

L’organisation d’activités extra-entreprise a toujours eu sa place dans la culture de SDTech. Mais l’idée du marathon allait plus loin que ce qui avait déjà été organisé : il s’agissait là de se dépasser, d’aller au bout de ses forces. On ne s’engage pas à la légère dans un tel projet.

Le premier écueil était technique : courir pour l’entreprise supposait d’être identifié comme tel ; il fallait donc constituer une équipe de volontaires, déposer un dossier d’inscription, accord médical compris, et créer des T-shirt à l’effigie de SDTech.

Mais le véritable défi restait sportif : c’est par binômes que nos participants ont abordé leurs séances d’entraînement, se motivant ainsi mutuellement pour rester disciplinés.

Vint enfin le jour J, le 19 octobre.

L’épreuve

Le départ de la course avait lieu à 9h30 sur la place de la Comédie, sous un soleil radieux. La plupart des participants de SDTech, à l’exception du deuxième relayeur, assistaient au départ de David.

  • Km 0 : Habitué de ces épreuves sportives, David initie un bon rythme de course.
  • Km 8,5 : Meriam prend le premier relais et s’engage dans une course de 7,5 kilomètres.
  • Km 16 : C’est au tour d’Axel d’entamer ses 11 kilomètres et de maintenir l’allure adoptée par les deux premiers relayeurs.
  • Km 27 : Yann récupère le relais. L’équipe est toujours en avance par rapport à l’objectif fixé.
  • Km 32,5 : Marion poursuit l’effort collectif. A ce moment de la course, ceux qui ont fait le choix d’un marathon en solitaire montrent les signes d’une fatigue extrême. Loin d’être déconcentrée, Marion rejoint le dernier relais.
  • Km 38 : Pour cette dernière étape, débutée à Antigone, toute l’équipe se joint à Florence afin de parcourir les derniers kilomètres à ses côtés. D’autres membres de l’entreprise, venus pour encourager les coureurs, pris par l’engouement collectif et les encouragements de la foule décident spontanément de se joindre à eux et de terminer la course. SDTech avait commencé la course à six, mais la termine à quinze.

Le défi du Marathon de Montpellier avait été relevé en trois heures trente, durant lesquelles l’euphorie de la course, l’envie de de se dépasser pour soi, pour son équipe avaient pris le dessus sur la fatigue des jambes.